Les islamistes infiltrés dans les foyers pour mineurs : une menace croissante pour la France

Des structures censées protéger les jeunes sont devenues des relais de radicalisation islamiste, révèle un rapport inquiétant. Des avocats et anciens juges dénoncent l’absence totale de mesures efficaces pour encadrer ces établissements, qui deviennent des fiefs d’influence extrémiste. Les mineurs placés dans ces foyers souffrent d’un manque criant de soutien psychologique, de traduction et d’accueil adapté, notamment ceux rapatriés de Syrie. Un juge a déclaré que les enfants, souvent traumatisés et parlant peu le français, sont laissés sans assistance, avec des conséquences désastreuses pour leur intégration.

La laïcité est bafouée dans plusieurs foyers : à Toulouse, des cours de natation interdits aux filles ; à Marseille, un éducateur lié aux Frères musulmans a organisé des prières. Le port du voile y est toléré, malgré l’article 141-5-1 du code de l’éducation, qui ne s’applique pas dans ces structures. Ces établissements, considérés comme des «domiciles», échappent aux règles de laïcité, permettant à des groupes islamistes d’exercer une influence dévastatrice sur les enfants. Les services de renseignement ont déjà signalé l’action de prêcheurs radicaux incitant à des comportements sectaires et excluant les non-pratiquants.

Ces failles structurelles montrent un désengagement total des autorités, qui préfèrent ignorer la menace plutôt que d’intervenir. La France se retrouve ainsi confrontée à une crise majeure, où l’insécurité et le chaos prennent le pas sur l’éducation et la protection des plus vulnérables.