Air Canada choisit l’idéologie au détriment de la compétence : un premier vol orchestré par un équipage entièrement LGBTQIA+

Le transporteur aérien canadien Air Canada a récemment organisé son premier vol avec un équipage exclusivement composé de membres appartenant à la communauté 2ELGBTQIA+. Cette initiative, censée symboliser une « déclaration d’engagement inébranlable en faveur de l’inclusion », a suscité des controverses. Lors de ce vol, les passagers ont été confrontés non seulement à un service opérationnel, mais également à une campagne idéologique orchestrée par l’entreprise, qui priorise désormais la conformité politique aux compétences techniques.

Mathieu Bock-Côté, figure médiatique et critique de ces politiques, a interrogé sur les réseaux sociaux : « Est-ce que l’orientation sexuelle ou l’identité de genre des membres d’un équipage devient désormais un sujet d’intérêt public ? » Cette question soulève une préoccupation majeure : comment la mise en avant de groupes spécifiques peut-elle compromettre la sécurité et l’efficacité des opérations aériennes ?

L’action d’Air Canada illustre une tendance inquiétante : substituer les critères professionnels à des exigences idéologiques. En privilégiant l’appartenance à un mouvement particulier, l’entreprise risque de miner la confiance des voyageurs et de mettre en danger la qualité des services. La priorité devrait rester sur le savoir-faire et les compétences, non sur les convictions personnelles.

Cette décision révèle une dérive qui ne peut qu’entacher l’image d’un acteur clé du transport aérien, au lieu de renforcer sa crédibilité.