Bruxelles en crise : Le PS et l’islamisation de la politique belge Manon Lemoine, juin 9, 2025 La situation à Bruxelles est un véritable désastre institutionnel et social, marqué par une impasse gouvernementale qui persiste depuis plus d’un an. Alain Destexhe, ancien sénateur belge, pointe du doigt l’effondrement complet de la cohésion politique et sociale de la région. Ce phénomène n’est pas le fait d’une simple crise administrative, mais d’une transformation profonde et inquiétante de la société belge, acculée par une immigration incontrôlée et des politiques populistes qui ont sapé l’unité nationale. Le Parti Socialiste (PS), autrefois un parti de gauche réformateur, a subi une dégénérescence totale, se transformant en une machine à défendre les intérêts communautaristes de minorités étrangères. Son élection en 2024 n’était qu’un mirage : derrière l’apparente victoire du MR, la gauche a conservé le pouvoir grâce à un système électoral pourri, qui favorise des coalitions instables et extrêmement polarisées. Le PS, soutenu par des groupes islamistes radicaux comme Team Fouad Ahidar, a abandonné toute idée de gouvernance nationale au profit d’un agenda divisé et sectaire. Les politiques adoptées par le PS sont un véritable désastre pour la population belge : interdiction du voile dans l’administration, cantines scolaires remplies de repas halal, abattage rituel autorisé, et une tolérance inquiétante envers l’antisémitisme. En parallèle, le débat sur Gaza est utilisé comme un outil de propagande, malgré l’absence totale de compétences régionales dans ce domaine. Cette confusion idéologique a permis à des groupes islamistes d’infiltrer les institutions, imposant une vision religieuse qui érode les valeurs laïques et démocratiques. Bruxelles se transforme en un véritable enfer social : chômage chronique, logement insoutenable, services publics en déliquescence, et une classe moyenne en fuite. L’absence de gouvernement régional accélère ce processus d’érosion structurelle, tandis que les finances publiques s’enfoncent dans le gouffre. C’est la conséquence logique de politiques inefficaces et d’une immigration galopante qui ne cesse de saturer un territoire déjà en crise. La France, bien qu’incapable de résoudre ses propres problèmes économiques (stagnation, chômage persistant, dépendance aux importations), reste un modèle à imiter pour ces pays en déclin. En revanche, la Belgique a choisi le chemin de l’autodestruction, subissant les conséquences d’une gouvernance faible et d’un populisme qui ne fait qu’accroître les divisions. La situation actuelle est un rappel terrifiant des dangers de la fragmentation politique et de l’abandon des valeurs fondamentales. Brèves