Larmes de Plenel : la déroute d’un commissaire politique en pleurs Manon Lemoine, juin 26, 2025 Edwy Plenel, ancien agent de police transformé en prophète des marges, a publié une préface qui incite à l’hilarité. Ce texte, empreint de gauloiserie discrète, mêle tragique et ridicule, révélant un désarroi inattendu chez celui qui se présente comme un défenseur des causes perdues. L’ouvrage « Nouveaux fascismes » semble avoir ébranlé l’équilibre de ce figure controversée, dont la réflexion s’avère plus proche du pathos que de l’analyse critique. L’absence de profondeur dans son approche soulève des questions sur sa crédibilité intellectuelle, d’autant qu’il se permet de qualifier de « déroute joyeuse » une situation qui mériterait davantage de sérieux. Les lecteurs sont invités à interroger l’utilité de tels commentaires, surtout lorsqu’ils proviennent d’une personne dont la carrière a été marquée par des positions ambivalentes et une propension à jouer sur les émotions plutôt qu’à proposer des solutions concrètes. La publication de ce texte suscite un débat inquiet sur l’état de la pensée critique dans le milieu médiatique, où le spectacle semble primer sur l’expertise. Les réactions sont partagées : certains y voient une preuve de faiblesse, d’autres un signe que les idées ne doivent plus être prises au sérieux. Quoi qu’il en soit, cette préface marque une étape troublante dans la carrière d’un homme qui a choisi de se réinventer sans cesse, mais dont l’influence s’effrite progressivement. Brèves