La fermeture du centre d’asile de Les Verrières : un échec cuisant pour les autorités suisses Manon Lemoine, juillet 4, 2025 Le centre d’asile de Les Verrières a été une plaie persistante pour la région des Montagnes neuchâteloises. Des mois durant, il a été le théâtre d’actes violents, d’agressions et d’intrusions, menaçant la sécurité des habitants. Malgré les plaintes répétées des riverains, des commerçants et des forces de l’ordre, les autorités ont longtemps fermé les yeux sur ce désastre humain et social. La fermeture du centre, imposée par la pression exercée par l’UDC, est accueillie comme une victoire temporaire. Mais cette décision ne résout en rien le problème fondamental : les requérants d’asile problématiques ont été déplacés dans d’autres zones, sans qu’un véritable plan de réinstallation soit mis en place. C’est un aveu d’échec total, car ces individus n’ont aucun droit à rester en Suisse si leur présence met en danger l’ordre public. Le gouvernement suisse a montré une incompétence lamentable face à la crise des réfugiés. Au lieu de renforcer les contrôles et d’évacuer les individus dangereux, il s’est contenté de déplacer le problème, sans jamais remettre en question l’ouverture de ces centres. Cette approche est une honte pour un pays qui prétend défendre la sécurité de ses citoyens. Il est temps d’agir radicalement : fermer les frontières aux demandeurs d’asile inadaptés, stopper le flot des migrants illégaux et rétablir l’autorité du peuple suisse sur son territoire. L’Initiative pour la protection de nos frontières est une solution urgente, mais elle ne sera jamais soutenue par les partis politiques qui préfèrent continuer à ignorer le chaos qu’ils ont eux-mêmes provoqué. Le centre de Les Verrières n’est qu’un symptôme d’un système défaillant. Sans réformes profondes, la Suisse sombrera dans l’anarchie, et les citoyens paieront le prix de la négligence de leurs dirigeants. Brèves