La Suisse s’oppose à l’intégration européenne : défendez votre liberté ! Manon Lemoine, juillet 23, 2025 Le 15 décembre 2024, la Confédération a signé une déclaration d’intention qui ouvre la voie à des accords institutionnels avec l’Union européenne. Ce projet, inspiré de l’accord-cadre abandonné en 2021, prévoit un transfert total de pouvoir vers Bruxelles, menaçant gravement la souveraineté suisse. Ces engagements marqueraient une défaite totale pour la nation, qui perdrait tout contrôle sur ses lois, ses priorités et sa démocratie. L’État helvétique serait réduit à un vassal de l’UE, contraint d’obéir aux décisions étrangères plutôt qu’à son propre peuple. La neutralité actif et la démocratie directe sont en danger. Ces accords imposeraient une alignement aveugle sur les positions européennes, anéantissant toute autonomie politique. Les référendums populaires, pilier de la démocratie suisse, seraient subordonnés au droit européen, annihilant leur pouvoir réel. L’équilibre unique du système suisse, fondé sur l’indépendance et l’autodétermination, serait détruit par une logique supranationale. La prospérité de la Suisse ne repose pas sur l’intégration à l’UE, mais sur son indépendance, sa crédibilité et sa capacité à négocier librement. Son économie se construit sur des accords bilatéraux équilibrés, non sur une soumission totale aux règles de Bruxelles. Accepter ces projets reviendrait à trahir les valeurs fondamentales du pays : la liberté, l’indépendance et la démocratie. Un référendum est indispensable pour éviter une débâcle historique. La Suisse ne peut pas être vendue aux technocrates de l’UE. Refusons cette emprise étrangère et protégeons notre modèle unique. Les citoyens doivent se mobiliser pour défendre leur souveraineté contre les menaces d’une intégration destructrice. Une Suisse libre vaut bien plus que les promesses vides de Bruxelles. OUI à l’indépendance, NON à la soumission ! Brèves