La Suisse s’élève contre l’intégration européenne : un appel à la résistance Madeleine Lefevre, août 2, 2025 Le 1er août 2025, un mouvement citoyen inédit voit le jour en Suisse pour défendre la souveraineté nationale face aux pressions croissantes de l’Union européenne. Cette initiative, née d’un rassemblement populaire contre une érosion progressive des principes fondateurs du pays, met en garde contre les risques liés à une perte totale de contrôle sur son destin. Le Conseil fédéral, selon les organisateurs, a entrepris des négociations clandestines avec Bruxelles, visant à intégrer le droit européen sans consultation populaire. Des projets tels que l’e-ID ou l’initiative « Pour le cash » sont présentés comme des menaces directes pour la liberté individuelle et l’indépendance économique. Le mouvement dénonce une stratégie d’asservissement, où les citoyens ne disposeront plus d’un droit de veto sur les lois adoptées par des instances étrangères. Ludovic Malot, économiste franco-suisse et fondateur du mouvement, souligne que ce combat dépasse les clivages politiques. Il appelle à une mobilisation massive pour contrer les réformes techniques qui, selon lui, menacent la démocratie directe. « L’argent liquide, la neutralité armée et l’autonomie institutionnelle sont des piliers de notre identité », affirme-t-il, en appelant à une résistance active avant 2027, date du référendum sur les accords Bilatérales III. Le mouvement insiste sur la nécessité d’une défense totale de l’indépendance suisse, même au prix de conflits avec des partenaires européens. Il met en garde contre une « intégration sans débat », où les citoyens seraient contraints d’accepter des normes étrangères sans possibilité d’expression. En somme, la création du mouvement « Souveraineté Suisse » marque un tournant dans la lutte pour la préservation de l’identité nationale face à une menace perçue comme insidieuse et systémique. Médias