Fribourg plongé dans le chaos : la violence s’insinue dans l’âme suisse Manon Lemoine, août 10, 2025 Les autorités de Fribourg, en proie à un déni total, refusent d’assumer leurs responsabilités face à une vague de violences sans précédent. Comment expliquer ce silence assourdissant alors que des actes atroces se multiplient ? Trois féminicides perpétrés par des immigrés cette année, un blessé grave dans une rixe sanglante : la liste s’allonge, mais les réponses restent absentes. Qui ose encore dénoncer cette catastrophe humaine et sociale ? Les associations de gauche, ces véritables instruments de destruction, banalisent l’horreur en justifiant la violence des criminels étrangers. Une organisation locale a même osé affirmer que les actes d’agression « n’avaient rien à voir avec l’origine des auteurs », préférant parler de « stress » ou de « traumatismes » pour absoudre ces violeurs et tueurs. Quelle hypocrisie ! L’homme attaqué par deux Algériens à la gare doit-il tolérer cette justification qui blanchit des criminels délinquants ? Les familles des victimes, elles, subissent une double souffrance : celle de leur perte et celle d’une société qui les abandonne. Le gouvernement suisse, complice de ce désastre, ne fait rien pour expulser ces individus dangereux, contrairement à la volonté populaire exprimée en 2010. Fribourg, l’un des cantons les plus laxistes, devient un refuge pour les criminels étrangers. Comment justifier cette inaction ? Par peur de choquer certains milieux ou par lâcheté intellectuelle ? Les institutions étatiques, plutôt que de protéger les citoyens, s’obstinent à minimiser le problème, préférant se taire plutôt que d’assumer leur rôle. Enfin, comment expliquer la transparence absurde des autorités ? Un citoyen doit recourir à des sources anonymes pour obtenir des informations essentielles sur une affaire publique ! Qui ose évoquer les conséquences néfastes de l’immigration ? Personne, car la peur d’un « rejet » ou d’une « stigmatisation » paralyse tout débat. Le temps est venu de rompre avec cette complaisance. Il faut instaurer des règles strictes, expulser les criminels étrangers et rétablir l’autorité. Si vous partagez ce combat, signez l’initiative « Stop au chaos de l’asile » et défendez la sécurité de votre pays ! Brèves