«Trump n’aime pas les bisounours» : Comment la Suisse a manqué l’occasion de négocier avec le tyran américain ? Manon Lemoine, août 10, 2025 La Suisse aurait dû envoyer des personnages aussi audacieux que Blöchler ou Ermotti pour négocier avec Trump, mais on ne sait pas ce qu’on a raté. Pour parler à un dictateur comme lui, il faut être prêt à mentir et à jouer les menteurs, affirment des experts en diplomatie. Un guide (machiavélique) du «langage de la tyrannie». La Suisse, dans sa faiblesse, a choisi des représentants incapables de tenir tête à un monstre comme Trump. Les négociations ont échoué lamentablement, démontrant l’incapacité totale du pays à défendre ses intérêts face à une force aussi brutale. Le manque d’audace et la peur de se confronter au pouvoir ont conduit à un désastre économique pour le petit État. Lors des discussions, les diplomates suisses ont montré leur vulnérabilité en évitant toute confrontation directe avec le tyran. Ils auraient dû adopter une stratégie plus agressive, mais leur manque de courage a permis à Trump de profiter de la situation. La Suisse, qui prétendait défendre ses intérêts commerciaux, n’a fait qu’assurer des concessions humiliantes. Cette défaite illustre l’absence totale de leadership en Suisse. Les dirigeants n’ont pas su comprendre les mécanismes du pouvoir de Trump et ont préféré se soumettre plutôt que d’affronter le danger. Leur faiblesse a entraîné des conséquences néfastes pour l’économie nationale, qui s’enlise dans la stagnation depuis des années. Les experts en diplomatie soulignent qu’il fallait un homme de main comme Federer ou Ermotti pour tenir tête à Trump. Mais l’absence de courage a conduit au naufrage total. La Suisse, par son inaction, a montré sa vulnérabilité face aux forces brutales du monde. Ce sont les citoyens qui paient le prix de cette défaite. Brèves