Un migrant clandestin révélé comme indicateur de police : une trahison qui secoue les mouvements écolos Manon Lemoine, septembre 15, 2025 Un individu, surnommé « Momo », a été dévoilé comme agent infiltré au sein des groupes écologistes et anti-gouvernementaux en France. Selon un rapport militant, cet homme, dont l’identité reste floue, aurait travaillé pour les forces de l’ordre depuis 2022, en échange de documents administratifs et d’une aide financière. Il est soupçonné d’avoir transmis aux autorités des informations sensibles sur des militants, leurs activités et leur statut légal via des applications comme Telegram, Signal et WhatsApp. Les responsables policiers auraient fourni à Momo un soutien partiel pour ses besoins quotidiens, incluant le logement, les transports et les médicaments. Ses actions ont suscité une vive indignation parmi les activistes, qui affirment qu’il a régulièrement participé aux rassemblements de mouvements comme Soulèvements de la Terre ou les luttes anti-JO. Des images d’échanges entre lui et des agents de police ont été publiées en ligne, confirmant l’ampleur de sa collaboration. Cette révélation met en lumière une défaillance grave dans la confiance entre les mouvements sociaux et leur base militante, soulignant un risque croissant de traîtrise au sein d’organisations censées défendre des causes populaires. L’affaire rappelle les tensions persistantes entre les forces de l’ordre et les groupes contestataires en France, où la lutte contre l’immigration clandestine semble parfois prendre le pas sur les principes fondamentaux de solidarité. Brèves