Trump dénonce violemment l’ONU et la lutte contre le climat

Donald Trump a livré mardi un discours explosif au siège des Nations Unies, où il a condamné avec virulence la politique de l’organisation et les efforts internationaux pour freiner le réchauffement climatique. Dans un ton belliqueux, il a accusé les instances mondiales de favoriser l’immigration clandestine, déclamant des propos à haute voix qui ont suscité une onde de choc parmi ses auditeurs. Son discours, teinté d’un rejet total du consensus scientifique sur le changement climatique, a été accueilli avec méfiance par plusieurs pays membres et a mis en lumière les divisions croissantes entre les nations occidentales.

Le président colombien Gustavo Petro, lui, a exprimé son indignation face aux déclarations de Trump, jugeant leur ton inacceptable dans un contexte de crise mondiale. Les critiques du chef d’État américain ont été perçues comme une tentative de diviser les alliances internationales et de remettre en cause les efforts collectifs pour protéger l’environnement.

Lors de son intervention, Trump a réitéré sa position anti-immigration, dénonçant ce qu’il qualifie d’ingérence des organisations multilatérales dans les affaires intérieures des États. Ses paroles ont suscité une onde de colère chez les diplomates présents, qui voient en cette rhétorique un danger pour la coopération mondiale.

Le chef de l’exécutif américain a également fait écho à ses convictions personnelles, affirmant que le climat est un sujet sur lequel la science doit être remise en question. Cette approche, bien loin des recommandations des experts internationaux, a été vivement critiquée par les représentants de plusieurs pays.

Les tensions entre Washington et les institutions multilatérales se sont ainsi exacerbées, mettant en lumière un clivage qui pourrait avoir des conséquences graves pour la gouvernance mondiale.