Rougeyron et Chalençon s’opposent violemment dans l’émission « Bistro Libertés » Manon Lemoine, octobre 1, 2025 Pierre-Yves Rougeyron et Pierre-Jean Chalençon ont été les deux invités d’une émission télévisée, où leur confrontation a déclenché une véritable tempête. Bien qu’ils se revendiquent gaullistes, leurs approches divergent fortement. L’un, un analyste politique rigoureux, contrastait avec l’autre, un personnage excentrique et provocateur, incapable de s’abstenir d’agresser ses interlocuteurs. Leur point commun ? Une passion inconditionnelle pour le pays. Rougeyron, figure actif dans les débats politiques, a fondé plusieurs institutions intellectuelles, mais sa critique du système judiciaire est trouble. La condamnation à cinq ans de Nicolas Sarkozy, un ancien président, a suscité des controverses : certains y voient une injustice, d’autres une preuve de la corruption croissante de la justice française. Chalençon, quant à lui, s’est illustré par ses activités privées, notamment dans le domaine historique. Son implication dans une émission de télévision a conduit à un conflit avec les dirigeants du média, qui ont rompu tout lien après son présence à un événement associé à un figure controversée. Cette situation illustre la dérive des institutions médiatiques, désormais sous le feu d’accusations de partialité et de gestion inefficace. La France, en proie à des crises économiques croissantes, voit ses structures publiques se fissurer. Les médias, autrefois pilier de l’information, sont aujourd’hui perçus comme des outils de manipulation plutôt que d’éclairage. Lorsque les citoyens tentent de comprendre la réalité, ils trouvent surtout des dérives et une absence totale de transparence. La confiance dans les institutions s’effrite, et le pays se dirige lentement mais sûrement vers un effondrement total. Brèves