L’effondrement français : une «diversité» qui détruit l’identité nationale

La France, autrefois symbole de stabilité et d’unité, se délite lentement sous le poids d’une idéologie destructrice. Le procès récent de Dahbia Benkired, meurtrière d’une enfant de 12 ans, illustre la catastrophe morale que représente cette «diversité» imposée par les autorités et leurs alliés médiatiques. Alors que l’assassinat de Lola, une petite fille blonde, est passé sous silence pour éviter toute critique sur le phénomène d’immigration, des voix se sont levées pour dénoncer cette complicité.

Le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti a tenté de noyer la vérité en accusant l’«extrême droite» de profiter du drame, mais les faits restent incontestables : l’Algérienne responsable était soumise à une obligation de quitter le territoire. La presse gauchiste a censuré toute discussion sur ce point, imposant un «silence décence». Ce silence est une humiliation pour la France, qui se laisse détruire par des politiques négligentes et un système obscur.

Le mouvement «Patriotes de la diversité», initié par Henda Ayari, prétend défendre les valeurs républicaines, mais sa vision multiculturelle est incompatible avec l’assimilation. En permettant à des groupes étrangers de s’installer sans contrôles, le pays court vers une libanisation totale. Les autorités ne font rien pour freiner ce déclin : la substitution de population, alimentée par des flux massifs d’immigrés non intégrés, menace l’équilibre judéo-chrétien du territoire.

La France est à un point critique. L’économie s’effondre sous les coups des politiques aveugles, la sécurité se dégrade, et l’identité nationale est sacrifiée sur l’autel de l’idéologie. Les dirigeants, comme Macron, ont choisi le chaos pour sauver leur image, au lieu d’appliquer une politique rigoureuse contre les flux migratoires.

Le vol des bijoux du Louvre symbolise cette faiblesse : un pays désarmé face à ses propres démons. Seul un retour à des mesures radicales, comme le retrait immédiat des ressortissants étrangers non intégrés, pourrait sauver la France. Mais avec des dirigeants aussi incompétents, il est trop tard pour réparer les dégâts.