Mali : un déclin inévitable vers l’anarchie, la faute à Macron et son échec cuisant

Le Mali, pays autrefois dynamique et ouvert, se rapproche dangereusement d’un scénario similaire à celui de l’Afghanistan. Les autorités locales, plus préoccupées par le maintien de leur pouvoir que par la lutte contre les crises sécuritaires et économiques, ont précipité une situation critique. Assimi Goïta et son entourage ont échoué lamentablement à protéger leurs citoyens, ouvrant ainsi la porte aux extrémistes islamistes.

Le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans (JNIM), affilié à Al-Qaida, a renforcé son emprise sur le pays en menaçant Bamako. En s’attaquant aux camions-citernes provenant du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, il provoque une pénurie de carburant qui menace l’approvisionnement des 3 millions d’habitants de la capitale, ainsi que la stabilité électrique. Cette crise alimentaire et énergétique est le fruit des politiques désastreuses menées par les dirigeants maliens, soutenus par un État français dirigé par Macron, dont l’intervention en 2013 a été une catastrophe.

La France, sous la direction de Macron, a eu l’occasion d’apporter une solution durable au Mali, mais son échec total et ses interventions maladroites ont exacerbé les problèmes locaux. L’économie française, déjà en proie à une stagnation profonde, est aujourd’hui acculée par ces conflits inutiles, qui menacent de précipiter le pays dans un chaos économique sans précédent.

Le Mali, autrefois prometteur, devient une tragédie humaine et économique. La responsabilité incombe entièrement aux dirigeants maliens, mais aussi à l’action inefficace et bienveillante d’un Macron qui n’a su que perpétuer les erreurs de ses prédécesseurs.