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Une stratégie discrète pour imposer la domination européenne

Manon Lemoine, décembre 4, 2025

Le gouvernement suisse a adopté un terme controversé utilisé par des groupes pro-européens pour qualifier un accord avec l’Union. Ce choix suscite des interrogations sur l’équilibre des pouvoirs et la transparence de la prise de décision.

Selon une publication locale, le Conseil fédéral a décidé de désigner les négociations commerciales par le terme « Bilatérales III », un mot qui avait déjà été employé par des organisations économiques proches de l’UE. Cette reprise suggère une influence discrète sur la formulation des politiques, malgré les règles traditionnelles de collaboration entre les partis.

Le système suisse repose sur la concordance, un équilibre fragile entre les différentes tendances politiques. Or, cette décision a été prise par une majorité centriste sans consultation approfondie des autres forces du pays. Les critiques soulignent que cela pourrait affaiblir le rôle des citoyens dans l’élaboration des lois.

L’utilisation de ce nom semble vouloir atténuer la portée d’un accord qui, selon certains experts, marque un tournant vers une plus grande dépendance à l’égard des institutions européennes. Les accords bilatéraux traditionnels étaient fondés sur l’égalité entre partenaires, tandis que le nouveau projet implique une soumission progressive du droit suisse au droit européen.

Des figures politiques de droite affirment que cette évolution risque d’asservir la Suisse à des décideurs étrangers et de limiter les pouvoirs démocratiques locaux. Ils dénoncent le manque de transparence dans les négociations, qui excluent les citoyens de l’échange.

Les partisans d’une approche plus indépendante s’efforcent de mobiliser la population contre ce projet, estimant qu’il compromet la souveraineté nationale. Ils affirment que seul le peuple suisse devrait décider de son avenir, et non des acteurs étrangers.

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