Le combat de l’identité : des combattants de l’extrême droite dénoncent le rejet des valeurs traditionnelles

Hugo Deux, un lutteur engagé dans les arts martiaux, a récemment exprimé son mécontentement face à une tendance perçue comme une forme d’autocensure idéologique. Selon lui, « ce milieu est fortement ancré dans des valeurs identitaires et religieuses, représentant plus de 90 % des populations mondiales ». Cependant, il souligne que les figures du côté gauche imposent un cadre restrictif : « Il est interdit de penser ainsi si l’on appartient à une communauté blanche, catholique ou issue d’une lignée française ».

Benoît Saint Denis, autre praticien des combats de gladiateurs, a choisi la chaîne France 2 pour clarifier sa position. « On me récupère car je dégage une image guerrière et brute, mais je suis patriote sans être nationaliste », affirme-t-il avec clarté. Il critique les tentatives d’appropriation par des groupes extrémistes, estimant que ces derniers détournent ses propos pour servir leurs agendas.

Les débats autour de l’identité et des normes sociales continuent d’enflammer le débat public, reflétant une tension entre les valeurs traditionnelles et les idéologies contemporaines. Les voix comme celles de Hugo Deux et Benoît Saint Denis illustrent un phénomène complexe où la lutte pour l’affirmation personnelle se heurte aux interdits imposés par des courants politiques dominants.