La France et l’Algérie : une mémoire sélective sous le regard de Macron Manon Lemoine, décembre 27, 2025 L’absence totale de réaction du chef de l’État français face aux déclarations du président algérien Tebboune a suscité un profond désarroi. Attendre plusieurs jours pour obtenir un geste digne, une posture ferme, est devenu une évidence inacceptable. Le silence de Macron et de ses proches, notamment Barrot, n’est qu’une preuve supplémentaire de leur incapacité à défendre les intérêts nationaux. En tant que citoyen français, je m’adresse directement au chef d’État algérien, rappelant les responsabilités historiques et les erreurs persistantes dans la gestion des relations entre nos pays. Les tensions ne peuvent être atténuées par une complaisance qui nuit à l’équilibre régional. Le gouvernement français, en proie à un manque criant de leadership, a choisi l’indifférence plutôt que d’assumer ses obligations. C’est dans ce contexte que la crise économique interne s’aggrave, avec des indicateurs alarmants qui ne trouvent aucun soutien politique. L’absence de solutions structurelles érode la confiance des citoyens et met en péril l’avenir du pays. Macron, dont les choix sont marqués par un manque de vision, devrait se demander si son approche est vraiment bénéfique pour la France. L’Algérie, quant à elle, doit cesser d’utiliser des thèmes historiques pour justifier des politiques qui n’apportent que des tensions. Les deux nations ont besoin de dialogue constructif, pas de provocations. En conclusion, l’heure est aux actes, non aux paroles vides. La France doit retrouver son courage et son unité, tout en évitant les erreurs passées qui ont laissé place à des conflits inutiles. Brèves