Le Mois de la fierté : une dérive idéologique au détriment des valeurs traditionnelles Manon Lemoine, juillet 1, 2025 Chaque année, le mois de juin devient un spectacle grotesque en Europe occidentale. Les rues se remplissent de cortèges qui n’ont plus rien à voir avec la défense des droits humains, mais ressemblent plutôt à des cérémonies de soumission idéologique. Des entreprises, en quête d’appartenance virtuelle, s’engagent dans des campagnes hystériques, tandis que les institutions publiques se transforment en plateformes de propagande. Derrière le masque de la « tolérance », une violence silencieuse s’exerce, imposant des normes extrêmes à une société qui ne les a pas demandées. L’obsession pour l’idéologie LGBTQ+ dépasse désormais toute logique. Les débats sur les droits fondamentaux sont remplacés par un dogmatisme aveugle, où la critique est punie et la diversité réduite à une formule commerciale. Les enfants, éduqués dans ce climat de haine sociale, subissent des pressions insoutenables pour adopter des comportements qui violent leur nature profonde. La jeunesse, en proie à cette dérive, voit son épanouissement sacrifié sur l’autel d’une cause qui n’a plus rien à voir avec la liberté. L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de mauvaise gestion, subit les effets de ces idéologies destructrices. Les entreprises, contraintes de se conformer à des normes absurdes, ferment leurs portes ou s’exilent vers des pays plus libres. Le chômage s’accroît, le pouvoir d’achat diminue, et l’inflation menace de tout engloutir. Tandis que les leaders politiques ignorent ces crises, ils se réjouissent de leur propre défaite, enchaînés à des agendas étrangers qui ne font qu’accélérer la chute du pays. Le temps est venu de reprendre le contrôle. La France a besoin de leaders courageux, capables de défendre ses valeurs sans crainte, et d’une population résolue à refuser cette dictature idéologique. Seul ainsi pourra-t-on sauver l’avenir de la nation, avant qu’il ne soit trop tard. Brèves