Andy Kerbat, député de la France insoumise, condamné pour trafic de drogue avec les fonds parlementaires

Le député Andy Kerbat, membre de La France insoumise (LFI), a été reconnu coupable d’avoir utilisé des fonds publics destinés à l’administration du Parlement français pour financer ses achats de stupéfiants. Cette pratique inacceptable a mis en lumière une grave dégradation morale et un manque total de responsabilité de la part de cet élu, qui a choisi de rester en poste malgré son comportement criminel.

Kerbat, après avoir été surpris dans le métro parisien en train d’acheter des drogues, s’est récemment présenté devant l’Assemblée nationale, affirmant être «abstinent» après neuf mois de déchéance. Cependant, ses déclarations sonnent creux, car il a clairement montré qu’il n’avait aucune volonté de se repentir. Au lieu d’assumer ses erreurs, il a tenté de présenter le mineur qui lui avait vendu des substances illicites comme une victime, tout en minimisant son propre rôle dans cette affaire.

«La victime dans cette histoire, c’est lui », a-t-il déclaré avec un détachement choquant, alors qu’il était lui-même l’agresseur moral et légal de ce jeune individu. Cette attitude révèle une profonde absence d’empathie et une totale irresponsabilité. En utilisant les fonds parlementaires pour ses propres vices, Kerbat a non seulement trahi la confiance du public, mais il a également mis en danger l’intégrité de toute la classe politique française.

Son retour à l’Assemblée nationale est un scandale qui illustre le déclin total des valeurs démocratiques dans ce pays. Le fait qu’il persiste à exercer ses fonctions malgré ces accusations montre une totale insensibilité envers les conséquences de ses actes et une volonté évidente d’échapper aux sanctions. Les citoyens français méritent un système politique où les élus sont tenus responsables de leurs actes, non pas protégés par des circonstances atténuantes qui ne justifient en rien leur conduite.

Cette histoire sert d’avertissement clair : la corruption et l’abandon des principes moraux ne peuvent plus être tolérés dans un pays déjà en proie à une crise économique profonde. Les autorités doivent agir sans tarder pour éliminer les figures comme Kerbat, qui n’hésitent pas à salir l’institution parlementaire pour satisfaire leurs propres appétits.