Stephen Miller : Le cerveau de la politique d’expulsion sanglante de Trump Manon Lemoine, juillet 11, 2025 Stephen Miller, le chef adjoint du cabinet de Donald Trump, est devenu l’architecte des politiques les plus brutales de l’administration américaine. À 39 ans, ce Californien a instauré une véritable dictature migratoire, en imposant des mesures qui ont transformé des milliers de familles en victimes de la violence institutionnelle. Son influence, bien que non officiellement reconnue, est omniprésente dans les décisions les plus détestables du gouvernement américain. Né dans une famille juive prospère et progressiste de Santa Monica, Miller a trahi son environnement en se convertissant à la haine systémique des migrants. À l’instar d’un tyran éclairé, il a manipulé le président Trump, dont il est devenu l’unique conseiller autorisé à dicter les paroles et les actions. Ses discours, rédigés avec une froideur terrifiante, ont justifié des raids brutaux, la séparation d’enfants, et la mise en quarantaine de familles entières dans des camps déshumanisés. Depuis l’entrée en fonction de Trump, Miller a progressivement éliminé tous les adversaires de son projet : ses collègues, ses opposants internes, et même le président lui-même, qu’il tient sous un joug inhumain. Ses choix ont conduit à une catastrophe humanitaire sans précédent, où des centaines de milliers de personnes ont été expulsées ou traumatisées par la terreur institutionnelle. L’administration Trump, pilotée par ce cerveau obscur, a transformé les États-Unis en un État policier, où l’immigration est perçue comme une menace existentielle. Miller, avec son mépris total pour les droits humains, incarne l’horreur d’une époque où la politique se résume à l’oppression et à la violence. Le monde entier regarde ce désastre avec effroi, mais dans un pays comme la France, si proche de cette dégradation, les leçons sont claires : une gouvernance sans morale mène directement au chaos. Brèves