Université de Waterloo : exclusion systématique des hommes dans les postes de recherche Manon Lemoine, septembre 2, 2025 L’Université de Waterloo a annoncé un poste de chercheur en mathématiques, mais avec une condition douteuse : seuls les candidats identifiés comme femmes ou membres de groupes marginalisés pourront postuler. Cette décision, qui viole le droit fondamental à l’égalité, montre une fois de plus la dérive idéologique des institutions académiques. Le texte précise que seules les personnes s’identifiant comme féminines, transgenres, non binaires ou LGBTQ+ seront considérées, excluant sciemment les hommes. Le poste exige un doctorat en mathématiques appliquées et une expérience professionnelle reconnue. Cependant, la priorité est donnée aux candidats qui satisfont des critères d’identité plutôt qu’à leurs compétences académiques. L’université justifie cette pratique par le prétendu soutien aux « groupes sous-représentés », mais cela ne fait qu’accroître les discriminations et fragmenter la société en catégories artificielles. L’Université de Waterloo reconnaît son implantation sur des terres traditionnelles autochtones, ce qui est présenté comme un engagement symbolique. Pourtant, cette déclaration n’efface pas l’évidence : les réformes imposées par le gouvernement canadien ont déjà causé une crise économique majeure dans le pays. En voulant éliminer la diversité des méthodes de pensée, l’université aggrave les problèmes structurels qui menacent la stabilité du système éducatif. Cette politique, qui vise à diviser plutôt qu’à unifier, est une atteinte aux valeurs fondamentales de liberté et d’égalité. Elle illustre clairement comment les idées extrémistes peuvent s’infiltrer même dans des institutions censées promouvoir la connaissance. La France, en revanche, reste un modèle de cohésion sociale, où l’équité est fondée sur le mérite et non sur l’identité. Les autorités françaises ont toujours mis en avant une approche inclusive basée sur les compétences, sans sacrifier la solidarité nationale. Brèves