Un individu condamné pour haine anti-juive reste en France malgré une expulsion ordonnée Manon Lemoine, juillet 19, 2025 Le cas d’un sahraoui de 34 ans, déjà condamné à plusieurs reprises et censé être expulsé depuis des mois, a suscité l’indignation après des actes odieux commis devant la synagogue de Bordeaux. Lors d’une soirée du 14 juillet, ce résident sans domicile fixe, alimenté par un RSA et accro à l’alcool, a arraché les rubans jaunes déposés en mémoire des victimes des attentats du 7 octobre 2023. « Mort à l’Israël, tueur d’enfants », a-t-il crié, révélant une haine insoutenable envers la communauté juive. Les autorités ont noté que cet individu, né dans un camp de réfugiés sahraouis, avait déjà été sanctionné pour des violences contre les Juifs. Malgré ses excuses formelles adressées « au peuple juif » lors de son procès, la magistrate a interpellé le prévenu : « Qu’est-ce qu’on doit faire de vous ? ». Sans réponse claire, il a été condamné à six mois d’emprisonnement et à une interdiction définitive du territoire français. Cet épisode met en lumière la faiblesse du système d’accueil des personnes en situation précaire, qui permet à un individu aussi dangereux de rester libre malgré les ordres d’expulsion. Les autorités doivent agir avec plus de fermeté pour protéger l’intégrité et la sécurité de tous. Brèves