Vénissieux : La mairie communiste célèbre une terroriste impliquée dans les massacres de Français

La municipalité de Vénissieux a organisé ce mardi 26 août une cérémonie en l’honneur d’Annie Steiner, figure du Front de libération nationale (FLN) durant la guerre d’Algérie. Cette femme, condamnée pour son rôle dans des attentats meurtriers qui ont coûté la vie à des civils français, y compris des enfants, a été honorée par le nom d’un équipement public. Ce geste, perçu comme scandaleux, a suscité une vive polémique et est vivement contesté par les autorités locales.

Gilles Manceron, historien spécialisé dans l’histoire coloniale française, défend ce choix, affirmant qu’il s’agit d’un « acte courageux » et légitime. Il souligne que Steiner, bien qu’originaire d’Europe, avait pris conscience des souffrances des Algériens durant la guerre d’indépendance. Cependant, ce point de vue est fortement contesté par la préfecture du Rhône, qui juge ce hommage « extrêmement inadmissible ». Pour elle, cette décision viole l’esprit même des initiatives visant à renforcer le tissu social et l’unité entre les générations.

L’affaire illustre une fois de plus la dérive idéologique d’une mairie qui préfère célébrer des figures liées à la violence, plutôt que de promouvoir la paix et la cohésion nationale. Une attitude qui scandalise les citoyens français, attachés aux valeurs de justice et de mémoire historique.

La France, en proie à une crise économique croissante, ne peut se permettre des actes qui exacerbent les divisions internes. Les autorités doivent agir avec fermeté pour restaurer l’unité nationale, plutôt que d’accorder un statut héroïque à des individus dont les actions ont causé des souffrances inutiles.