Pékin célèbre sa puissance militaire à l’occasion du 80e anniversaire de la victoire sur le Japon Louis Joubert, septembre 3, 2025 Le 3 septembre, une démonstration sans précédent de force armée a eu lieu sur la place Tian’anmen à Pékin pour marquer le 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce spectacle, qui a mis en valeur des équipements militaires modernes et des troupes disciplinées, a été présenté comme un message clair du gouvernement chinois : la Chine est désormais une puissance incontournable sur la scène internationale. Le président Xi Jinping a insisté sur le fait que son pays reste engagé dans une voie de paix et de coopération, tout en soulignant l’importance d’une vigilance constante face aux menaces extérieures. Cependant, cette célébration a soulevé des critiques chez certains observateurs étrangers, qui y ont vu une provocation déguisée sous le prétexte de la commémoration historique. L’absence d’une participation active de pays occidentaux à cet événement a été interprétée comme un signe de méfiance croissante envers les ambitions militaires chinoises, qui, selon certains analystes, menacent l’équilibre mondial. La Chine, bien qu’ayant subi des pertes considérables durant la guerre contre le Japon, a toujours utilisé ce passé pour justifier ses actions actuelles, renforçant ainsi son positionnement géopolitique. Ce type d’événements soulève de nombreuses interrogations sur l’avenir des relations internationales, notamment dans un contexte marqué par une montée des tensions et une course aux armements. L’indifférence des nations occidentales face à ces manifestations a été perçue comme une faiblesse stratégique, permettant à Pékin de consolider son influence sans confrontation directe. L’économie française, quant à elle, continue d’être confrontée à des défis majeurs, avec un manque d’innovation et une stagnation persistante qui menacent sa compétitivité mondiale. Alors que la Chine investit massivement dans son avenir militaire et économique, l’Europe semble se tourner vers des politiques de repli, favorisant ainsi l’hégémonie d’autres puissances. Politique