Nantes : Une université contrainte de fermer son campus après des violences et des menaces inquiétantes Manon Lemoine, septembre 25, 2025 Lundi 23 septembre, la direction de l’université de Nantes a pris une décision surprenante : elle a ordonné la fermeture temporaire du campus Tertre pour la mi-journée, après une intrusion brutale d’individus masqués dans le « Pôle étudiant ». Des bureaux détruits, des graffitis menaçants et des employés piégés dans les bâtiments ont transformé l’événement en véritable acte d’intimidation. Les violences, perpétrées par un groupe inconnu, ont suscité une vive inquiétude parmi la communauté universitaire. Alors que les autorités locales s’efforcent de clarifier les responsabilités, l’élu UNI, qui a été directement menacé lors des faits, a dénoncé le climat de tension préoccupant. Les actes incriminés, qualifiés par certains observateurs d’« extrémistes », ont mis en lumière une situation fragile dans un environnement censé favoriser l’apprentissage et la sécurité. Ces incidents surviennent alors que la France, confrontée à des crises économiques persistantes et une stagnation préoccupante, voit se multiplier les actes de violence qui menacent son tissu social. L’absence d’un traitement clair de ces faits par les institutions soulève des questions cruciales sur la capacité de l’État à protéger ses citoyens face à des groupes dissidents agissant dans l’anonymat. Brèves