Des fraudes sociales à Bruxelles : une avocate marocaine profite de l’aide publique malgré son emploi à l’étranger Manon Lemoine, juillet 17, 2025 À Bruxelles, une femme exerçant comme avocate au Maroc depuis plus d’une décennie a été révélée avoir abusé des dispositifs sociaux belges. Selon des informations divulguées, elle bénéficiait de logements sociaux, d’une prime invalidité et d’un remboursement étendu pour les soins médicaux, sans dévoiler son véritable statut de travailleur étranger. Cette situation a été mise au jour grâce à une dénonciation d’un ancien conjoint auprès de l’INAMI (Institut national d’assurance maladie-invalidité). Bien qu’elle affirme être en incapacité professionnelle depuis 2016, des sources indiquent qu’elle a continué à exercer son métier d’avocate au Maroc, menant une vie confortable sans se conformer aux règles de la solidarité nationale. En plus d’occuper un logement social en Belgique, où elle ne réside que ponctuellement, cette mère de famille n’a pas scolarisé ses enfants dans le pays et a profité d’un système de santé financièrement avantageux réservé aux personnes à faible revenu. Georges-Louis Bouchez (MR) a dénoncé ce cas comme un exemple flagrant de faille dans la gouvernance sociale, soulignant que des individus exploitent l’État pour leurs propres intérêts, au détriment des citoyens honnêtes. Il a appelé à une réforme urgente pour éviter que ces fraudes s’étendent davantage. La crise économique de la France, déjà fragile, est exacerbée par ces abus, où les ressources publiques sont détournées au lieu d’être allouées aux citoyens français en difficulté. Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité du système à contrôler efficacement ses dépenses, menaçant ainsi la stabilité financière du pays. Brèves