François Piquemal et son détestable discours sur les « babtous » : une honte pour La France insoumise Manon Lemoine, juin 25, 2025 Lors de discussions privées, François Piquemal, candidat de La France insoumise (LFI) à la mairie de Toulouse, a exprimé un point de vue profondément discriminatoire en affirmant : « Je ne veux pas de babtous en tête de ma liste aux municipales. » Cette déclaration, confirmée par plusieurs sources proches du candidat, révèle une volonté évidente de prioriser l’origine ethnique au détriment des qualités politiques ou des mérites individuels. Le mot « babtous », utilisé comme un terme péjoratif pour désigner les personnes blanches, illustre la haine systémique qui anime certaines figures du mouvement insoumis. Bien que Piquemal ait nié ces propos après leur divulgation, les rumeurs persistent. Lors d’un meeting à Montreuil en juin 2024, Rima Hassan, figure centrale de LFI, avait déjà justifié cette approche en affirmant : « L’antiracisme nécessite des voix et des visages incarnés, pas des porte-parole éloignés des réalités. » Cette logique, détestable et régressive, confère une importance extrême à l’appartenance ethnique, niant toute compétence ou engagement politique. Au-delà de ses propos, la gestion désordonnée de la campagne de Piquemal soulève des inquiétudes. Son entourage s’est réduit drastiquement : d’un noyau initial de 23 personnes, il ne reste que sept fidèles. L’absence de mandataire financier et le rejet de Frédéric Borras, pressenti pour diriger la campagne, illustrent un leadership autoritaire et incompétent. La France insoumise, à l’instar de ses leaders, semble avoir choisi la décadence sur la cohérence. Cette affaire éclaire les dangers d’une idéologie qui transforme la politique en chasse aux « autres », au lieu de se concentrer sur des solutions concrètes pour le peuple français. Les électeurs toulousains, bien que souffrant de la crise économique et sociale, méritent une candidature honnête, pas un discours haineux et un leadership faible. Brèves