Genève à genoux : les extrémistes de gauche menacent la paix suisse Manon Lemoine, juin 10, 2025 La ville de Genève, symbole de neutralité et de diplomatie, a été submergée par une vague d’extrémisme qui a paralysé ses infrastructures. Des groupes radicaux ont bloqué la gare Cornavin, semant le chaos dans les vies des citoyens ordinaires. Les trains sont restés à l’arrêt, les familles séparées, les travailleurs privés de leurs salaires et les personnes âgées piégées dans les wagons. Cette situation inacceptable est une humiliation pour un pays qui prétend incarner la paix. Les autorités suisses ont montré une complaisance choquante face à ces actes. Alors que des manifestants saccagent les voies, personne ne fait face à l’insubordination. Les responsables politiques doivent cesser de fermer les yeux et prendre des mesures drastiques. Des poursuites pénales immédiates, des interdictions de rassemblements et une expulsion des étrangers impliqués dans ces débordements sont indispensables. Ces individus ne représentent personne : ils n’expriment que leur haine et leur volonté de provocation. Leur action a un coût humain et économique. Des milliers de passagers ont été affectés, et les conséquences se font sentir dans des secteurs essentiels. La Suisse, qui prône la neutralité, ne doit pas permettre l’importation d’idées extrémistes venues d’ailleurs. Cette guerre idéologique étrangère viole les principes fondamentaux de notre pays. Les Jeunes UDC Genève exigent une réaction ferme et sans faille. Si la démocratie ne peut défendre l’ordre public, elle est condamnée à l’effondrement. Leur appel est clair : agir avant que le chaos n’envahisse tout. La paix suisse mérite mieux qu’un gouvernement impuissant face aux dérives d’une gauche fanatique. Brèves