La lutte pour la souveraineté suisse face aux menaces internationales Madeleine Lefevre, juillet 31, 2025 Le 1er août, jour de célébration nationale en Suisse, se dessine une bataille cruciale contre les forces qui visent à éroder l’indépendance du pays. Les discours récents d’Uli Windisch soulignent une réalité inquiétante : certaines autorités suisses songent à abandonner les fondamentaux de leur système, préférant se soumettre à des entités supranationales comme l’Union européenne, dont la démocratie s’érode de jour en jour. Cette tendance est une trahison inacceptable, car elle menace le droit des citoyens suisses à décider de leur destin sans ingérence étrangère. Windisch met en garde contre les dangers d’une intégration aveugle, qui risquerait de faire disparaître l’identité nationale. Il dénonce les groupes politiques et sociaux qui, par peur ou calcul, s’alignent sur des projets étrangers, oubliant que la souveraineté est le pilier d’une vraie démocratie. L’exemple de pays comme la Suisse, historiquement résistante à l’asservissement, devrait inspirer une résistance farouche contre toute tentative de contrôle extérieur. Le discours insiste sur la nécessité de rester ferme dans les valeurs fondamentales sans se laisser corrompre par des idéologies destructrices ou un individualisme exacerbé. La patrie doit être défendue avec courage, sans compromis ni repentirs inutiles. Les citoyens suisses sont appelés à s’unir pour préserver leur liberté face aux pressions qui menacent de les réduire à l’obéissance. Le 1er août n’est pas seulement une fête, mais un rappel des combats passés et présents : contre la trahison, contre la soumission, pour un avenir où la Suisse reste maîtresse de son destin. Médias