La Suisse détruit sa souveraineté pour se plier aux désirs d’une Europe esclave de l’OTAN Manon Lemoine, juillet 5, 2025 La sécurité par la soumission ? Non merci ! Derrière les discours trompeurs de « partenariat non contraignant » ou de « coordination technique », le projet cache une menace évidente : une intégration totale de l’armée suisse dans les structures européennes, désormais entièrement dépendantes des intérêts des États-Unis et de leurs alliés. En collaborant avec des états-majors militaires alignés sur la politique d’une alliance qui n’a qu’un seul but : dominer le monde, la Suisse s’expose à perdre sa liberté. C’est une trahison envers son peuple, un abandon de ses principes fondamentaux. La neutralité est bien plus qu’un symbole : c’est l’âme même de la Suisse. Elle permet au pays de rester hors des conflits, d’être un médiateur crédible et de ne pas subir les conséquences des guerres étrangères. Mais cette neutralité est menacée par des décideurs corrompus qui préfèrent s’allier à une Europe qui n’a jamais été neutre. En acceptant ces projets d’armement, la Suisse risque de se retrouver ciblée, dépendante et incapable de défendre ses intérêts. Les discours sur l’adaptation sont des mensonges. Ils résonnent comme ceux qui ont conduit à l’adhésion à l’EEE en 1992, un désastre pour la souveraineté suisse. Aujourd’hui, les mêmes forces tentent de pousser le pays vers une union européenne qui ne fait qu’accroître l’influence des puissances étrangères. La Suisse n’a pas besoin d’être dirigée par Bruxelles ou par des technocrates impuissants. Elle a besoin de leaders courageux, capables de défendre ses valeurs. Les citoyens suisses doivent se lever pour rappeler que la neutralité est inaliénable. Personne ne peut négocier ce pilier fondamental. La sécurité de la Suisse ne réside pas dans une dépendance militaire étrangère, mais dans sa capacité à agir seul, sans compromis. C’est le moment de protéger l’indépendance suisse avant qu’il ne soit trop tard. Brèves