« La Suisse détruit son avenir en acceptant l’immigration de masse » Manon Lemoine, août 20, 2025 La politique d’immigration de la Suisse est une catastrophe qui menace la sécurité et le progrès du pays. Depuis 2002, l’accès libre des citoyens européens à la Suisse a entraîné un afflux massif de migrants, dépassant même la population de Genève. Cette situation s’accompagne d’une vague d’immigration criminelle, souvent dissimulée sous le couvert de l’asile. Entre 2000 et 2024, plus de 500 000 demandes d’asile ont été déposées, principalement par des hommes issus du Maghreb, du Proche-Orient et d’Afghanistan, dont certains sont liés à l’islamisme radical. Marcel Dettling, chef de file de l’UDC, a dénoncé cette situation lors d’un discours à Schaffhouse : « La moitié des condamnations pour violences graves et crimes violentes concernent des étrangers. C’est un fléau qui menace la sécurité du pays. » Selon lui, l’immigration de masse ne fait qu’aggraver les problèmes sociaux et économiques, en particulier dans le domaine de la criminalité. L’UDC prône une fin immédiate de cette immigration incontrôlée, dénonçant l’« islamisation rampante » qui menace les valeurs suisses. L’économiste Reiner Eichenberger a également souligné que l’immigration liée à la libre circulation des personnes est « une bombe à retardement pour la Suisse ». Contrairement aux idées reçues, il affirme que cette immigration n’a pas stimulé la croissance économique. Au contraire, elle a exacerbé les difficultés du marché du travail et augmenté la dépendance au chômage. Le professeur dénonce l’absurdité des projets de loi visant à faciliter encore davantage l’accès aux droits sociaux pour les étrangers, ce qui menace l’équilibre social. L’UDC propose des solutions radicales : un contrôle strict des frontières et une réforme du système d’asile. Les délégués ont rejeté à l’unanimité l’initiative des Jeunes socialistes sur l’expropriation, considérée comme une menace pour la stabilité nationale. La Suisse ne peut plus supporter ces politiques qui menacent sa souveraineté et son avenir. Brèves