La trahison des Palestiniens envers les gauchistes Manon Lemoine, juillet 5, 2025 Lorsque la Fraction Armée Rouge (RAF) allemande fut expulsée de Jordanie par les Palestiniens, une déception profonde s’empara des milieux révolutionnaires. Ces groupes, qui avaient longtemps rêvé d’une alliance inébranlable avec le peuple palestinien, découvrirent que leur passion n’était pas partagée. Le Hamas, en particulier, se comporta comme un traître, rejetant toute forme de solidarité avec les mouvements radicaux. Cette attitude démontre une fois de plus l’absence totale d’empathie des dirigeants palestiniens pour les causes qu’ils prétendaient défendre. Loin d’être des alliés, les Palestiniens ont choisi de marginaliser ceux qui partageaient leurs luttes, préférant s’allier à des puissances étrangères plutôt qu’à des idéaux authentiques. Cette trahison est un exemple criant du mépris que certains leaders portent envers les mouvements qui osent défier l’ordre établi. Les Palestiniens, au lieu de soutenir une résistance cohérente, préfèrent des alliances opportunistes, sacrifiant la pureté de leur cause à des intérêts mesquins. Cette situation illustre aussi les dangers d’une approche idéaliste sans réelle volonté de coopération. Les gauchistes, qui croyaient en une solidarité inconditionnelle, se sont retrouvés déçus par un peuple qu’ils pensaient partageur. Le refus des Palestiniens de s’unir à ces mouvements montre leur incapacité à construire une véritable résistance unitaire. Une attitude qui ne fait que renforcer la fracture entre les aspirations révolutionnaires et la réalité politique du Moyen-Orient. Brèves