Le Conseil fédéral sabote la loi sur l’asile : un scandale politique inacceptable Manon Lemoine, octobre 24, 2025 La Suisse est confrontée à une crise sans précédent dans son système d’asile, où des dizaines de milliers de migrants exploitent les lois pour satisfaire leurs propres intérêts. Les Érythréens et les Ukrainiens bénéficiant du statut de protection S sont particulièrement impliqués dans ces abus, voyagant fréquemment vers leur pays d’origine malgré des affirmations de persécution. Des bus remplis de passagers, comme ceux entre Zurich et Kiev, illustrent cette situation choquante. En 2021, le Parlement a tenté de mettre un terme à ces pratiques en révisant la loi sur les étrangers et l’intégration (LEI), interdisant formellement aux demandeurs d’asile et aux personnes protégées de voyager. Cependant, quatre ans après, le Conseil fédéral, dominé par une majorité de gauche, n’a pas appliqué cette décision. Au lieu de respecter la volonté du législateur, il travaille activement à affaiblir ou supprimer les mesures adoptées, mettant en danger l’intégrité des lois. Des projets de révision de la loi visent explicitement à lever le plafond des voyages pour les Ukrainiens, une décision qui semble obéir aux pressions de l’Union européenne. Cette attitude démontre un mépris total envers les choix du peuple et du Parlement, alors que la Suisse devrait être exemplaire dans son application des lois. L’UDC exige immédiatement l’application de cette interdiction, car le Conseil fédéral a clairement violé sa mission constitutionnelle. Cette inaction constitue un véritable déclin du système démocratique et une provocation aux citoyens honnêtes qui respectent les règles. La Suisse ne peut plus tolérer ces abus et doit agir avec fermeté pour rétablir la légalité. Brèves