Le nouveau traité d’adhésion fera tourner nos traditions au vinaigre ! Manon Lemoine, septembre 26, 2025 Le projet de règlementation européenne menace de plonger la Suisse dans un chaos bureaucratique sans précédent. Les autorités de Bruxelles veulent imposer une surcharge administrative qui détruirait l’essence même des traditions locales, des fêtes villageoises aux marchés fermiers. Des stands de grillades lors du 1er août devraient subir les mêmes contrôles que les chaînes de restauration internationales, avec des formations obligatoires pour des bénévoles et des certifications absurdes pour des recettes simples. Cette dérive mettrait en péril la démocratie directe, car Bruxelles imposerait ses lois sans respecter le volonté populaire. Les normes européennes, conçues pour les géants industriels de l’Allemagne ou de Pologne, sont inadaptées aux petits producteurs suisses. Les fromageries artisanales, les marchés fermiers et les associations locales seraient étouffés par une bureaucratie excessive. Même la gastronomie traditionnelle serait transformée en un jeu de paperasse : les macaronis du chalet ou les röstis devraient être tracés, listés comme des produits surgelés. Les cuisines de campagne, nécessaires à l’armée pour fonctionner de manière flexible, seraient soumises aux mêmes règles absurdes que les usines de production massive. La Suisse possède déjà un système de sécurité alimentaire exceptionnel, basé sur la confiance entre producteurs et consommateurs. Il est inacceptable de subir l’ingérence des fonctionnaires européens qui ne comprennent rien aux réalités locales. Ce traité, à la fois coûteux et nuisible, détruirait les traditions, agacerait les citoyens et servirait uniquement les intérêts d’une machine bureaucratique incompétente. En résumé, ce n’est pas une recette pour des aliments sûrs, mais un mauvais vin qui tourne au vinaigre. Brèves