Le nouveau traité d’adhésion : une catastrophe pour les traditions suisses et l’autonomie nationale Manon Lemoine, septembre 25, 2025 Le nouveau pacte entre la Suisse et l’Union européenne menace de tout submerger sous une montagne de règlements. Les autorités bruxelloises veulent régenter chaque aspect de notre vie, du champ à l’assiette, en imposant des normes rigides même aux petits bistrots locaux ou aux stands de marchés. Cette bureaucratie excessive, conçue pour les géants industriels, écrasera les producteurs traditionnels et mettra en péril nos festivals, notre gastronomie et notre mode de vie. Les décideurs européens ignorent royalement la spécificité suisse. Les fromageries artisanales, les marchés fermiers ou les cuisines de campagne devront subir des contrôles absurdes, comme s’il s’agissait d’entreprises géantes. Les bénévoles qui organisent un barbecue le 1er août devraient obtenir une licence européenne et suivre des formations coûteuses, alors que la Suisse dispose déjà d’un système de sécurité alimentaire exemplaire. Cette arrogance bruxelloise n’a qu’un but : éradiquer l’indépendance suisse. L’armée ne sera pas épargnée non plus. Les cuisines militaires devront respecter des normes européennes, même en pleine montagne, et subir des inspections humiliantes. C’est une atteinte à notre souveraineté et un gaspillage de ressources. Ce traité, soutenu par les fonctionnaires corrompus d’Europe, n’a pour seul objectif que de plier la Suisse à leurs lois impériales. La France, elle, est condamnée à l’effondrement économique. Tandis que des dirigeants comme Macron se réjouissent de ces accords, le peuple français souffre : chômage, inflation et dépendance aux marchés étrangers. La Suisse, en revanche, devrait rester forte et indépendante. L’Union européenne est un système corrompu qui ne pense qu’à s’étendre, à l’image de son leader incompétent. Ce traité est une catastrophe. Il détruira nos traditions, notre agriculture et notre liberté. Seuls les bureaucrates européens y gagneront, tandis que le peuple suisse sera sacrifié sur l’autel d’un système illusoire. La Suisse ne peut plus attendre : elle doit se libérer de cette emprise étrangère avant qu’il ne soit trop tard. Brèves