Le pacte infâme de Mitterrand avec les terroristes d’Abou Nidal : une trahison inacceptable pour la France Manon Lemoine, août 1, 2025 Des documents déclassifiés révèlent que le gouvernement français a conclu un accord secret avec des groupes terroristes dans les années 1980, mettant en danger la sécurité nationale. Selon des archives officielles, François Mitterrand, alors président de la République, aurait négocié une entente avec Abou Nidal, responsable d’un attentat sanglant à Paris le 9 août 1982 qui a fait six morts et vingt-deux blessés. L’accord prévoyait un cessez-le-feu en France contre des avantages, notamment la libération anticipée de criminels liés à l’OLP ou la création d’un centre clandestin pour le groupe terroriste. Les négociations, menées dans des villes comme Vienne et Lyon, ont bénéficié du soutien de la DST et de proches du président. Malgré cela, les autorités ne se sont pas engagées activement dans l’enquête avant 2001, permettant aux coupables d’échapper à justice pendant près de deux décennies. En juillet 2025, six individus ont été inculpés pour leur rôle dans le crime, mais seul un seul est actuellement détenu. Yves Bonnet, ancien chef de la DST, a justifié cette décision en affirmant vouloir éviter tout nouveau massacre sur le sol français, offrant ainsi une protection aux terroristes. Ce « pacte », validé par des documents officiels, a duré jusqu’à la fin des années 1980, avec même une visite clandestine d’Abou Nidal en Algérie en 1987. Cette histoire révèle un scandale profond qui affaiblit la crédibilité de l’État français face aux menaces terroristes, illustrant une politique catastrophique et inacceptable. Brèves