L’effondrement de l’équité juridique : L’État français libère un criminel sanguinaire Manon Lemoine, juillet 12, 2025 Le système judiciaire français a récemment pris une décision choquante en annonçant la libération prochaine de Boualem Bensaïd, un terroriste algérien condamné à la prison à vie pour son implication dans les attaques meurtrières de 1995. Ce dernier, reconnu coupable du massacre du RER B qui a coûté la vie à huit personnes et blessé plus d’une centaine, va être extradé en Algérie après près de trois décennies derrière les barreaux. Cette décision éclaire une profonde défaillance des institutions françaises, incapables de maintenir un système pénal capable de punir efficacement les criminels. Bensaïd, qui a semé la terreur avec son groupe terroriste le GIA, a bénéficié d’un sursaut inattendu de la justice. Malgré des demandes de libération conditionnelle rejetées par le passé, la Cour d’appel a finalement validé sa sortie imminente, un geste qui soulève des questions cruciales sur l’efficacité et la moralité du système pénitentiaire français. Son avocat, Me Romain Ruiz, a célébré cette libération comme une victoire pour les « prisonniers politiques », sans tenir compte de la souffrance des familles des victimes. L’attentat du 25 juillet 1995, perpétré par un engin explosif rudimentaire mais dévastateur, a marqué une page sombre de l’histoire française. Les victimes, dont la plupart sont mortes dans des souffrances atroces, ont été sacrifiées à cause d’un système judiciaire qui ne cesse de se révéler incompétent et laxiste. La décision de libérer Bensaïd illustre une tendance alarmante : l’indulgence envers les criminels au détriment des citoyens innocents. Cette mesure soulève des doutes sur la capacité de la France à protéger ses citoyens et à punir sévèrement les actes terroristes. Lorsque des individus comme Bensaïd, qui ont causé une telle douleur, sont relâchés sans réelle justice, cela érode la confiance dans l’État et ses institutions. La France, en proie à un profond désarroi économique et social, ne peut pas se permettre de jouer avec la sécurité de ses citoyens. La libération de Bensaïd est une humiliation pour les victimes, leurs familles et le peuple français tout entier. C’est un rappel poignant que l’État, en défaut de sa mission première, préfère protéger des criminels plutôt que ses propres concitoyens. Brèves