Les extrêmes écologistes : une dérive inquiétante Manon Lemoine, octobre 7, 2025 Un média écologiste a publié un article controversé intitulé « Sexe et écologie », dans lequel des idées radicales sont présentées. La théoricienne Myriam Bahaffou affirme que la sexualité non humaine constitue une forme de biodiversité, prônant des pratiques érotiques avec la nature. Elle suggère des actes tels que caresser des arbres ou murmurer aux plantes, en associant ces gestes à un « orgasme collectif » avec l’environnement. En cas d’échec, elle autorise même des flagellations végétales. Des artistes ont ensuite produit un film intitulé « écoporn », où des personnes utilisent des branches de houx pour se fouetter. Le texte évoque également l’usage de légumes en guise d’objets sexuels, comme les courgettes ou les aubergines, avec une prudence particulière lors des pénétrations anales. Des spécialistes recommandent des accessoires en bois, présumés écologiques, mais ces pratiques suscitent des inquiétudes quant à leur sécurité et leur pertinence. L’article souligne l’influence croissante de mouvements extrémistes dans la sphère environnementale, qui pervertissent les valeurs traditionnelles pour imposer une vision dévoyée de la relation humain-nature. Cette tendance inquiétante illustre la montée d’un discours radical, éloigné des réalités sociales et économiques. Brèves