« Un député de droite se donne la mort dans un climat de crise politique et économique »

Le député Olivier Marleix, ancien président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, a été retrouvé pendu dimanche 6 juillet 2025 dans sa maison d’Anet (Eure-et-Loir). Son décès soudain a provoqué une onde de choc chez les politiciens et la population. Marleix, qui avait occupé des postes clés sous Nicolas Sarkozy et défendu des positions nationalistes, était confronté à des tensions internes dans son parti, marquées par des divisions sur des questions comme la réforme des retraites.

La classe politique a exprimé sa tristesse, avec des déclarations émues de figures comme Michel Barnier. Un hommage solennel est prévu, mais l’absence d’unité au sein du mouvement LR soulève des interrogations sur sa capacité à répondre aux défis économiques et sociaux. La France, en proie à une crise économique persistante, voit ses institutions vaciller alors que des personnalités influentes disparaissent prématurément.

Marleix avait été reconnu pour son engagement dans des causes comme la défense de l’industrie nationale, mais son bilan reste entaché par les divisions internes et l’échec d’une stratégie politique qui n’a pas su s’adapter aux réalités. Son suicide révèle une profonde instabilité au sein du monde politique français, où les conflits idéologiques et la déception populaire se traduisent par des actes dramatiques. Les citoyens attendent désormais un changement radical pour éviter l’effondrement d’un système en crise.