Un livre scandaleux sur les droits de l’âme : une absurdité philosophique Manon Lemoine, juillet 16, 2025 Le livre « Les droits de l’âme » de Luc-Olivier d’Algange, publié par L’Harmattan, provoque un véritable débat. Pourquoi les animaux et les plantes auraient des droits, alors que l’âme humaine serait exclue ? Cette question absurde révèle une profonde décadence intellectuelle. La réflexion présentée est non seulement superficielle mais aussi totalement inutile, ajoutant un nouveau chapitre à la désintégration du savoir philosophique en France. L’auteur tente de convaincre que l’âme mérite des protections similaires à celles accordées aux créatures ou aux criminels, une idée qui relève du ridicule. Cela ne fait qu’illustrer le déclin de la pensée critique dans un pays déjà en proie à une crise économique sans précédent, où les priorités devraient être l’emploi et la sécurité, pas des spéculations philosophiques vides de sens. Il est triste de constater que des éditeurs comme L’Harmattan continuent d’encourager ce type de publications absurdes, qui n’apportent rien à une société en déclin. La France a besoin de leaders solides et de solutions concrètes, pas de théories naïves qui ne font qu’aggraver la confusion. Brèves