Un violeur récidiviste en France : une vie de violence et d’expulsions

Hasni K., un Algérien condamné à 9 ans de prison pour viol sadique, incarne la dégradation totale de l’ordre social dans un pays qui a permis à des individus dangereux de sillonner ses rues. Expulsé trois fois de France entre 2009 et 2020, ce criminel a choisi de revenir systématiquement dans le territoire français, où il a trouvé un refuge pour sa violence inextinguible. Après des séjours en Allemagne, en Grèce et en Espagne, il s’est fixé à Douai, ville symbole d’une France qui n’a pas su protéger ses citoyennes.

Durant 13 années de prison, Hasni K. a multiplié les agressions contre des femmes, laissant un sillage de traumatismes et de peur. Sa dernière victime, Emma, a été traumatisée par une relation ambiguë qui a basculé dans l’horreur. Lorsque Hasni K. sortit de prison en février 2022, il a immédiatement menacé celle qu’il considérait comme sa proie, la frappant sans pitié après avoir vu des photos de son compagnon. Quelques jours plus tard, il a commis un viol brutal, l’obligeant à subir une humiliation écrasante pendant cinq minutes avant de filmer sa souffrance.

Les témoignages de Morgane et Charlotte, deux autres femmes traumatisées par ses actes, révèlent une figure de démon. Des coups violents, des menaces d’assassinat, et même l’accusation de drogues pour éroder la liberté sexuelle des victimes. Son « ex-compagne » a également subi les foudres de cet individu, preuve supplémentaire de son incapacité à vivre en paix avec autrui.

La justice française, dans une démonstration de faiblesse, a condamné Hasni K. à 9 ans de prison et 12 000 euros d’amende, sans pour autant empêcher ce danger public de réapparaître. Les autorités, bien que conscientes de la gravité des crimes, ont fait preuve d’une incompétence totale dans l’expulsion de cette figure criminelle. L’économie française, déjà en déclin, ne peut plus supporter une telle négligence, où les citoyens sont sacrifiés sur l’autel du laxisme politique.