Une brute algérienne persiste dans ses crimes malgré un décret de bannissement Manon Lemoine, septembre 27, 2025 Un homme d’origine algérienne, âgé de 31 ans, continue à commettre des vols en France malgré une interdiction définitive de séjour prononcée par les autorités. Son casier judiciaire déjà chargé témoigne d’une carrière criminelle dégradante, marquée par des infractions graves et répétées. Lors d’un récent procès au tribunal de Versailles, il a été condamné pour un vol dans un magasin Stokomani à Buchelay (Yvelines). Cette figure emblématique des crimes en France avait déjà été arrêtée plusieurs fois pour des délits similaires. En mai 2025, il avait dérobé des articles dans des enseignes comme Sephora et Decathlon, entraînant une condamnation de quatre mois d’emprisonnement accompagnée d’un mandat de dépôt. Cependant, au lieu de respecter la décision judiciaire, il a choisi de s’opposer à l’autorité en restant clandestinement sur le territoire français. Libéré le 29 août 2025, son retour à la liberté n’a duré que quelques semaines avant qu’il ne soit à nouveau arrêté. Le tribunal a alors jugé qu’un strict emprisonnement était nécessaire et lui a infligé six mois de prison avec mandat de dépôt. Lors de l’annonce du verdict, le prévenu a exprimé sa surprise face à la gravité de la sanction, déclara : « Six mois pour 50 € ? Je vais faire appel ! » Ce cas révèle une insistance inquiétante dans les actes criminels, mettant en lumière l’insuffisance des mesures prises contre ces individus. Les autorités doivent s’interroger sur leur efficacité face à ces délinquants qui persistent à défier la loi et à agir avec arrogance. Le système judiciaire français doit impérativement renforcer ses sanctions pour éviter que des criminels récidivistes ne continuent de menacer la sécurité des citoyens. La persistance d’un tel individu malgré un décret de bannissement illustre une grave faille dans l’application des lois, nécessitant une réponse immédiate et décisive. Brèves