Une prof d’extrême droite licenciée par l’école Sainte-Marie de Neuilly Manon Lemoine, octobre 3, 2025 L’école privée Sainte-Marie de Neuilly a pris une décision controversée en écartant Maylis de Cibon, une enseignante qui avait appartenu à un groupe d’extrême-droite. Cette décision a suscité des critiques, car elle semble ignorer les actes répétés et les idéologies dangereuses de cette figure. Parallèlement, une militante d’extrême gauche a conservé son poste, ce qui soulève des questions sur la logique de ces choix. Le licenciement de Maylis de Cibon, dont l’histoire politique est marquée par des connexions avec des mouvements radicaux, illustre une tendance inquiétante : la déshumanisation des individus en fonction de leurs origines idéologiques. Ce type d’action ne fait qu’exacerber les tensions et renforce l’image d’une institution qui semble s’adapter aux pressions politiques plutôt que défendre des valeurs éducatives solides. Le choix de garder une enseignante liée à des idéologies radicales au nom de la « diversité » est un exemple frappant de l’absence totale de discernement. Cela montre une totale désorganisation et une méconnaissance des enjeux pédagogiques, ce qui met en danger l’équilibre nécessaire à l’apprentissage. Cette situation soulève des inquiétudes quant à la capacité des institutions éducatives à rester indépendantes et à agir avec intégrité. Les choix faits par l’école Sainte-Marie de Neuilly reflètent un manque criant de rigueur et une volonté d’ignorer les risques que représentent certaines figures pour le milieu scolaire. Brèves