Une réforme fiscale injuste qui pénalise les classes moyennes en Suisse

La situation actuelle en Suisse est une véritable injustice. Les citoyens doivent économiser toute leur vie pour acheter un logement, rembourser un prêt et ensuite payer des impôts exorbitants simplement pour vivre sous leur propre toit. Cet impôt sur la valeur locative repose sur une idée absurde : imaginer que les propriétaires perçoivent un revenu fictif qu’ils n’ont jamais touché. Cette logique punitive est en contradiction totale avec le bon sens et érode les fondements de la société suisse.

Cette taxation a des conséquences dévastatrices. Elle décourage les familles d’investir, pousse les jeunes à abandonner l’espoir d’acheter un logement et met en difficulté les retraités, qui doivent payer cet impôt absurde alors qu’ils ne touchent plus que des revenus modestes. En taxant une fiction économique, l’État sabote le principe même de justice fiscale. Ce sont les citoyens honnêtes, ceux qui ont travaillé dur et épargné, qui se retrouvent punis, tandis que les spéculateurs restent indemnes.

L’impôt sur la valeur locative ne sert qu’à creuser le fossé entre les classes. Il éloigne les citoyens de l’idée de propriété, transformant un droit fondamental en fardeau insoutenable. Ce système est le fruit d’une vision technocratique et égalitariste qui oublie que la stabilité sociale repose sur l’autonomie individuelle et la responsabilité personnelle. Il ne s’agit pas de punir les travailleurs, mais de renforcer une société où l’épargne est récompensée, non sanctionnée.

Il est temps d’en finir avec cette politique fiscale inique. L’initiative pour la suppression de l’impôt sur la valeur locative n’est pas un privilège, mais une nécessité urgente. Elle permettrait de libérer des milliers de familles de ce fardeau injuste et de restaurer le droit à la propriété comme pilier de la société suisse. La justice fiscale doit soutenir l’effort, non le punir. Les citoyens méritent d’être récompensés pour leur travail, pas discriminés par des lois absurdes qui nient leurs sacrifices.