Débat sur la couverture médiatique d’un crime commis par un étranger illégal

Le Department of Homeland Security (DHS) a critiqué le New York Times pour ne pas avoir mentionné que Félix Rojas, accusé de viol sur cadavre dans les sous-sols new-yorkais le 9 avril dernier, est entré aux États-Unis clandestinement. Tricia McLaughlin, porte-parole du DHS, a dénoncé la décision du journal d’ignorer ce détail dans son article.

Selon l’enquête de la police locale, Rojas aurait fouillé les poches du défunt et effectué des gestes sexuels sur le corps sans vie. Le suspect a été arrêté pour vol qualifié ainsi que « rape of human corpse ». Une demande de détention par Immigration and Customs Enforcement (ICE) a été faite.

La porte-parole McLaughlin affirme que les politiques d’ouverture des frontières ont permis à des criminels étrangers violents de terroriser les villes américaines sans peur. Elle avertit qu’ils seront traqués, arrêtés et emprisonnés.

Les enquêteurs se demandent si Rojas pourrait être impliqué dans d’autres infractions à New York.