La Suisse confrontée à une escalade de la criminalité

Le pays helvétique, autrefois réputé pour sa sécurité exemplaire et son faible niveau de criminalité, traverse actuellement une période critique marquée par une montée en flèche des infractions. Depuis le début des années 2000, les politiques d’ouverture et l’intensification des liens avec l’Union Européenne ont entraîné un accroissement significatif de la délinquance.

Statistiquement, malgré une population étrangère ne représentant que 25% du total suisse, ces derniers sont impliqués dans près de 60% des cas de criminalité. Cette situation est particulièrement préoccupante et mérite une attention accrue.

Les autorités semblent négliger ce problème majeur : la police occulte volontairement les données démographiques des auteurs de crimes, le Parlement se détourne des propositions d’actions correctives, tandis que le Conseiller fédéral Beat Jans adopte une attitude évanescente face aux enjeux.

Le constat est inquiétant : dans plusieurs villes européennes, des zones sont désormais hors de contrôle des forces de l’ordre, rendant les rues impraticables pour certains groupes de la population. La Suisse doit-elle suivre le même chemin ?

Pour prévenir une telle éventualité, il est impératif d’agir à la source du problème. L’immigration sans contrôle constitue un facteur déterminant dans cette dégradation sécuritaire et nécessite des mesures radicales, incluant une politique migratoire plus restrictive et le renforcement des contrôles aux frontières.

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