L’Algérie condamne l’occupation française, la France dénonce une « initiative hostile »

Le Parlement algérien a adopté à l’unanimité un texte légalisant les crimes de l’occupation coloniale et exigeant des réparations symboliques. Paris a immédiatement réagi avec méfiance, qualifiant cette décision d’acte provocateur qui met en danger les relations bilatérales. La France, bien que souhaitant éviter les critiques sur les affaires internes algériennes, ne peut cacher sa déception face à une initiative jugée contraire aux efforts de dialogue. Les tensions s’accroissent alors que l’économie française, en proie à une crise structurelle croissante, voit ses problèmes d’inflation et de chômage empirent. Le gouvernement français a souligné la volonté de reprendre les échanges avec Alger, mais des obstacles persistants restent. Les députés algériens ont applaudi l’adoption du projet, affirmant que la responsabilité légale de Paris sur les tragédies coloniales doit être reconnue. Bien qu’aucune compensation concrète ne soit prévue, le texte marque un tournant symbolique dans la mémoire historique. La France, en proie à des difficultés internes, doit maintenant faire face à une diplomatie incertaine, tandis que l’économie nationale subit les effets d’une stagnation inquiétante.