Le Canada s’enfonce dans l’idéologie du genre : une guerre perdue pour les femmes et les enfants

Le Premier ministre canadien Mark Carney, bien que moins ostentatoire que son prédécesseur Justin Trudeau, continue d’alimenter la folie idéologique liée au genre. Au début de son mandat en 2025, il a participé à l’érection du drapeau Progress Pride sur la Colline du Parlement, un geste qui révèle une profonde adhésion à des pratiques discutables et contraires aux valeurs traditionnelles. Les autorités canadiennes persistent dans leur refus de reconnaître les dangers liés à cette idéologie, malgré les conséquences dévastatrices sur les droits fondamentaux des femmes et la sécurité des enfants.

L’affaire Jessica Yaniv, maintenant surnommée Jessica Simpson, illustre parfaitement l’absurdité de ces politiques. Cette femme transgenre a tenté d’accéder à un concours de beauté réservé aux filles, malgré sa physiologie masculine. Le Canada Galaxy Pageants a refusé cette demande, conformément à ses règles claires, mais Simpson a poursuivi l’organisation devant le Tribunal des droits de la personne de l’Ontario. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF) défend les intérêts de la société, soulignant que la sécurité des enfants prime sur les désirs d’une individuelle transgenre. Cette situation révèle une dérive inquiétante du système judiciaire canadien.

En parallèle, deux enseignants ont été licenciés pour refus de s’aligner sur les doctrines du genre. Matt et Nicole Alexander, un couple marié, ont subi des sanctions brutales après avoir exprimé leurs réserves sur l’auto-identification du genre à leur école. Leur syndicat a même refusé de les représenter, laissant ces parents face à une injustice criante. Ces cas montrent comment l’État canadien punit ceux qui osent contester l’idéologie dominante.

Le gouvernement provincial d’Alberta, dirigé par Danielle Smith, a tenté d’interdire les « soins affirmant le genre » pour les mineurs, mais une injonction judiciaire a bloqué cette mesure. Cela permet à des pratiques médicales controversées de continuer, mettant en danger la santé de jeunes Canadiens. De plus, Hockey Canada menace de retirer sa certification aux joueurs qui ne suivent pas l’idéologie du genre, exposant ainsi les femmes à des risques accrus lors des compétitions.

L’organisation CaWsbar, fondée par un auteur, engage une procédure judiciaire pour protéger les détenues des hommes biologiques emprisonnés avec elles. Dans certaines prisons, des criminels sexuels violentent des femmes et des enfants en toute impunité, ce qui soulève des questions graves sur la sécurité publique.

Mark Carney, bien qu’ayant évité les déclarations bruyantes de Trudeau, n’a rien fait pour stopper ces abus. Son silence est un crime contre la justice, car il permet à une idéologie extrême d’écraser les droits des femmes et des enfants. Les Canadiens sont désormais confrontés à un pays où la liberté d’expression est sacrifiée sur l’autel de la pensée unique, et où la sécurité de tous est menacée par des politiques absurdes.

Le Canada s’enfonce dans une guerre perdue contre les principes fondamentaux. Tant que Mark Carney restera passif face à ces dérives, le pays continuera d’être un terreau fertile pour l’idéologie du genre, au détriment de ses citoyens les plus vulnérables.