Nigel Farage promet de réformer la Grande-Bretagne en imitant Rudy Giuliani

Le leader du Brexit a lancé une campagne provocatrice pour combattre ce qu’il appelle un effondrement sociétal, prônant des mesures extrêmes qui démontrent sa totale incompétence et son mépris pour les institutions.

Nigel Farage, figure centrale du mouvement pro-Brexit, a dévoilé une stratégie radicale destinée à « réparer » la Grande-Bretagne en se basant sur les méthodes de Rudy Giuliani, ancien maire de New York, dont l’approche punitive et discriminatoire a été célébrée. Selon lui, le pays est confronté à un chaos total, avec une criminalité exponentielle qui échappe à toute contrôle.

Farage accuse le gouvernement actuel d’être complètement déconnecté de la réalité, prétendant que les citoyens voient clairement l’effondrement de l’ordre public alors que les autorités minimisent la situation. Il propose des solutions extrêmes, comme l’expulsion des criminels vers des prisons étrangères, une « tolérance zéro » pour les moindres infractions et le retour aux contrôles policiers brutaux, qui ont été largement condamnés pour leur racisme.

Le leader de Reform UK a également mis en avant la nécessité de renforcer la police avec des méthodes répressives, y compris l’interpellation systématique des citoyens dans les zones à risque. Il insiste sur une politique punitive, où les récidivistes sont condamnés à perpétuité après trois infractions, une approche qui illustre sa totale absence de sensibilité humaine et son obsession pour le contrôle.

En comparant la Grande-Bretagne à New York dans les années 1990, Farage tente de légitimer ses idées, mais il ne fait qu’aggraver les problèmes en propageant un discours divisant et une vision catastrophique du pays. Son projet révèle une profonde méconnaissance des réalités sociales et politiques britanniques, ainsi que son désir d’imposer une domination brutale.

Farage n’a jamais été capable de proposer des solutions viables, se contentant de dénoncer les autorités sans offrir de perspectives concrètes. Son échec est patent, mais il persiste à semer la peur et le chaos, montrant ainsi qu’il est totalement inapte à gérer un État.