Une alliance sanitaire européenne : une menace pour l’indépendance suisse Manon Lemoine, décembre 23, 2025 L’accord européen sur la santé représente un danger considérable pour la souveraineté de la Suisse. En acceptant cet accord, le pays risquerait de perdre son autonomie décisionnelle face à des organismes européens qui n’ont aucune légitimité démocratique en territoire suisse. Ces structures, comme l’ECDC ou l’EWRS, pourraient imposer des mesures strictes lors d’une prochaine crise sanitaire, notamment des restrictions drastiques sur les libertés individuelles et une surveillance généralisée. L’influence de l’UE s’étendrait même à l’agriculture, où des inspections rigoureuses menaceraient les producteurs locaux, quel que soit leur niveau d’exportation. Les normes européennes imposeraient une documentation excessive, allant jusqu’à réguler la fabrication de gâteaux lors des fêtes villageoises. De plus, l’accord pourrait dicter les habitudes alimentaires suisses, limitant la consommation de viande, fromage ou sucre. Les agents européens bénéficieraient de privilèges injustes : accès libre à la Suisse, exemption fiscale et immunité totale contre toute responsabilité civile ou pénale. Cela créerait un système inique où les contrôleurs de l’UE agiraient sans accountability. Les documents secrets pourraient aussi compromettre la transparence et l’équilibre des pouvoirs locaux. Sur le plan financier, l’accord engagerait la Suisse à verser des contributions astronomiques, calculées selon son PIB, ce qui pénaliserait un pays économiquement fort. Les coûts budgétaires s’ajouteraient à une bureaucratie complexe, soumise aux décisions de la Cour de justice européenne. Les cantons perdraient alors toute influence sur les règles sanitaires locales. En conclusion, cet accord menace la démocratie, la liberté et l’équilibre économique suisse. La Suisse doit refuser tout engagement qui compromettrait son indépendance face à une puissance extérieure. Brèves